+Saskya Bakura+ La Roseraie

-- SASKYA BAKURA --

-- CARACTÈRE --

Je suis personne qui porte attention à ce qui m'entoure. J'ai l'oeil de trouver ce qui cloche et je résous tout de suite tout problème, dépendant ce qui en est, avant tout. J'ai un fort esprit d'équipe; autant pour que pour les sports ou en sciences. J'adore faire ce qui est vraiment en ma faveur et ce qui est surtout ce que j'aime; la peinture. Je déteste les personnes qui se croient superficielles devant les autres et qui se prennent pour quelqu'un d'autre qu'eux-mêmes. J'ai aussi un dégoût sur les garçons qui se croient bon à tout faire alors qu'ils ne peuvent pas faire ce que on leur demande. Je suis une fille d'esprit vif. Je n'hésiterai pas à aller me jeter à l'eau pour aller chercher quelque chose qui est vraiment cher à un ami à moi. Je suis prête à tout faire pour me satisfaire et satisfaire les autres aussi. Il faut faire attention à ce que je fais, parce que je peux être très dangereuse dans je le veux jusqu'à vous envoyer à l'hôpital (une vraie «fighteuse»).

-- HISTOIRE --

«La ville d'Osaka est une jolie ville, tu verras, Saskya-chan.» a dit un jour ma tendre maman. Lors de notre déménagement en ville, Papa nous a fait visité le lycée privé où il a fait ses études il y a, de cela, plusieurs années. À cette époque, je n'avais que 7 ans. Maintenant, j'ai mes 16 ans. Je suis née dans la ville de New York d'une mère japonaise et d'un père français d'origine égyptienne. Nous nous sommes toujours comptés l'un sur l'autre depuis. Quand j'ai eu mes 12 ans, papa nous a annoncé, à maman et moi, que nous déménagions ailleurs. «C'est une chance importante pour nous tous, en tant que famille, de tourner la page et d'essayer quelque chose de nouveau.» a dit papa d'un ton enjoué. Maman parraissait plutôt contente pour papa, mais moi, il ne m'avait demandé mon avis si je voulais réellement partir d'ici ou non. Le grand départ se fit trois mois plus tard. Le patron de papa, M. Johnson, vint nous annoncer bon voyage. Nous nous rendions donc au Japon dans la ville d'Osaka où papa a obtenu un excellent contract de travail qui nous aiderait beaucoup financièrement, toute la famille. Les changements d'école se firent fréquemment alors que je n'y comprenais pas rien au japonais encore, même si ma maman était japonaise depuis le départ. Il a fallu que je suive mes cours à la maison sous la supervision de grand-mère Annah, la maman de ma maman. Pendant quatres longues années, j'ai fait mes études à la maison. Mais le jour arriva quand papa rentra avec une lettre spéciale de son patron. «Saskya-chan, j'ai une excellente nouvelle à t'annoncer. Mon patron, M. Irikowa, m'a trouvé un endroit qui serait excellent pour tes études au lycée. Grâce à ma promotion, je peux t'inscrire là-bas et tout reviendra comme avant. Tu vas aller à mon lycée comme quand j'étais jeune tout comme ta maman, ma chérie.» Dès que ces mots sortirent de sa bouche, je fus confronté à une toute nouvelle épreuve; Ouran.